mardi 2 février 2016

طريقة خروج الطرد

 طريقة خروج الطرد:

1-    تخرج مجموعات من النحل الكشاف للبحث عن أماكن مناسبة لسكنى الطرد.
2- بعد العودة تؤدى نحل كل مجموعة الرقصة المناسبة التي تدل على مكانها المختار، فإذا اتفقت الطائفة على مكان معين خرجت إليه وإذا لم تتفق خرج الطرد وتعلق على أحد أفرع الأشجار بصفة مؤقتة ثم ينتقل منه إلى مكان مناسب ليسكن فيه.
3- غالبا ما يخرج الطرد بين الساعة العاشرة صباحا والثانية بعد الظهر ويخرج مع الطرد عادة الملكة الأم فيسمى بالطرد الرئيسي. أما إذا خرج عدة طرود بكل منها ملكة عذراء يسمى كل منها بالطرد الثانوي وقد يوجد بالطرد الواحد عدة ملكات عذارى.
4- عادة لا تخرج الملكة من خليتها إلا بعد خروج معظم الشغالات، أحيانا تطير الملكة فى المقدمة ثم يتجمع حولها النحل.
5- عند وصول النحل الى المكان المختار يتشابك على شكل عنقود وقد يبنى أقراصا شمعية بمكانه او يمكث فترة قصيرة حتى يبحث النحل الكشاف عن مكان جديد.

كيف يمكنك وقف الطرد عن الطيران؟:
1-    إذا لوحظ الطرد أثناء طيرانه يمكن رشه برذاذ الماء حتى يلجأ إلى اقرب مكان ليتجمع عليه.
2- يوضع فى طريق تجمعه صندوق سفر به بعض الأقراص الشمعية الفارغة وأقراص العسل لكي ينجذب إليها الطرد بدلا من تعلقه بالأشجار او تعرضه للفقد.

3-    ينصح بوضع صناديق السفر او الخلايا فى الظل حتى تلجأ إليها الطرود
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dimanche 31 janvier 2016

L'abeille, auxiliaire de l'agriculture

L'abeille, auxiliaire de l'agriculture

Le va-et-vient devant la ruche est aussi un moment de communication entre les abeilles. - Le va-et-vient devant la ruche est aussi un moment de communication entre les abeilles.Le va-et-vient devant la ruche est aussi un moment de communication entre les abeilles.
Le va-et-vient devant la ruche est aussi un moment de communication entre les abeilles.
Mercredi, à partir de 17 h 30, à la Maison familiale rurale de Saint-Firmin-des-Prés, les élèves de la classe de techniciens agricoles convient le public à une réunion sur le thème « L'abeille, auxiliaire n° 1 de l'agriculture ». Ils ont prévu d'articuler cette rencontre autour de trois axes. Le premier sera consacré à la meilleure connaissance de cet insecte pollinisateur avec sa présentation biologique et celle du fonctionnement très organisé d'une ruche mais aussi son cycle de vie individuel de l'éclosion à l'envol avant d'évoquer son rôle dans la pollinisation. En effet, une abeille peut stocker sur une seule de ses pattes postérieures quelque 500.000 grains de pollen et visiter en une seule heure jusqu'à 250 fleurs. De tels chiffres mettent en évidence son rôle majeur en matière de pollinisation. Ainsi, sur les cent espèces de plantes alimentaires les plus cultivées dans le monde, soixante-et-onze seraient pollinisées uniquement par les abeilles, dont les sauvages qui, à la différence de leurs sœurs domestiques, sont des insectes solitaires.
Le second volet de cette approche sera consacré à la compréhension du déclin des abeilles en mettant en exergue les causes mais aussi les impacts de cette disparition progressive. En France, depuis une trentaine d'années, les populations d'abeilles diminuent. Phénomène constaté aussi dans d'autres pays d'Europe ainsi qu'en Amérique du Nord et en Asie. Cette surmortalité alarmante s'est accélérée depuis le milieu des années 1990. Comme toujours, c'est la conjonction de plusieurs facteurs comme l'usage intensif de produits phytosanitaires, les infections parasitaires (varroa) et l'apparition d'un terrible prédateur, le frelon asiatique, qui a engendré cet état de fait. Enfin, pour terminer non seulement sur un angle positif mais aussi sur le volontarisme notamment agricole mis en œuvre pour endiguer ce déclin, les élèves présenteront un panorama de la réglementation autour de l'abeille mais aussi les techniques alternatives permettant de préserver cet auxiliaire de l'agriculture.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Environnement/n/Contenus/Articles/2016/01/31/L-abeille-auxiliaire-de-l-agriculture-2609226
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samedi 19 décembre 2015

VIDEO.Pour collecter le pollen, cette abeille frappe la fleur 350 fois par seconde

Pour collecter le pollen, cette abeille frappe la fleur 350 fois par seconde

Amegilla murrayensis possède une technique tout à fait singulière pour collecter le pollen : elle frappe la fleur à toute vitesse avec sa tête.

ZIDANE. Les bourdons, comme de nombreux autres insectes de ce type, collectent le nectar des fleurs en les saisissant par leurs mandibules et en les secouant en moyenne 240 fois par seconde. La technique semblait jusqu'alors partagée par les principaux insectes pollinisateurs jusqu'à ce que des chercheurs australiens et américains filment avec une caméra à haute vitesse, une abeille de l'espèce Amegilla murrayensis. Ils ont eu la surprise d'observer une pollinisation ultra rapide d'une fréquence de 350 hertz. Mais plus insolite encore : pour libérer le pollen retenu dans la fleur, cette abeille frappe celle-ci avec... sa tête ! D'après les scientifiques cités par le site IFLScience, cette technique serait plus efficace que celle plus conventionnelle utilisée par la majorité des autres insectes. Les Amegilla murrayensis passent en effet, moins de temps à polliniser chaque fleur... 350 coups de tête par seconde : mieux vaut que chaque pétale soit bien accroché !

http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/insectes/20151217.OBS1581/video-pour-collecter-le-pollen-cette-abeille-frappe-la-fleur-350-fois-par-seconde.html

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vendredi 18 décembre 2015

Magique Melipona: l’abeille maya tant convoitée

Magique Melipona: l’abeille maya tant convoitée

Source : Mariline Dubois
Reportage. Deux Français ont fait revivre au Mexique l’apiculture traditionnelle maya. Le succès de leur miel aiguise bien des appétits commerciaux. Et leur abeille sans dard et aux yeux bleus fait rêver. 
Camille Lavoix Tulum
Tulum, sur la côte est du Mexique. Les touristes y viennent pour ses plages de sable blanc, ses eaux turquoise, sa jungle tropicale, et son ancienne cité maya. Mais les descendants du peuple qui l’édifièrent, eux, vivent pour la plupart (60%) sous le seuil de pauvreté. Or, voilà que la communauté a découvert, il y a deux ans, un véritable trésor: Melipona beecheii. Il s’agit d’une abeille qui ne pique pas et qui a été ressuscitée par une joyeuse troupe composée d’entrepreneurs français, d’une Prix Nobel de la paix guatémaltèque, de scientifiques et même d’experts des Ministères de l’agriculture français et allemand.

«J’étais psy et Charlie ingénieur en bâtiment», lâche affablement Stéphane Palmieri en guise de présentation. Il y a dix ans, les deux Parisiens ont monté un hôtel à Tulum. Depuis, en se plongeant dans l’histoire de la région, Stéphane n’a cessé de croiser la mélipone, une abeille native (c’est-à-dire non importée par les colons), sans dard. «Durant la conquête, les récits des Espagnols évoquent des milliers de colonies dans chaque village. Le miel et la cire des mélipones étaient la principale richesse de la région, on en prélevait un impôt.»

Plus Stéphane cherche, plus il s’étonne des qualités exceptionnelles attribuées à ce miel. Utilisé par les sages-femmes mayas lors des accouchements, il était aussi utilisé pour les problèmes de rétine et pour les soins de la peau. Et bien sûr dégusté comme met. Fantastique! En bon entrepreneur et apiculteur amateur (il possédait 300 ruches bios en France), Stéphane a voulu acquérir de ce miel pour en vendre à l’hôtel, à tartiner ou comme produit de soins. Sauf que 80% des colonies d’abeilles avaient disparu ces trente dernières années. Et le savoir-faire des apiculteurs mayas avec.

«Sauver les abeilles au nom de la biodiversité, c’est bien, mais ce n’est pas suffisant. On s’est rendu compte qu’il y avait un vrai marché au niveau mondial. Je reçois souvent des demandes d’entreprises cosmétiques du Canada ou d’Allemagne. Cependant, nous ne voulons pas que les Mayas soient écartés des affaires faute de moyens pour investir, comme cela a été le cas pour le cacao et la vanille. Nous avons donc créé, en octobre 2013, la Fondation Melipona maya, que je préside.»

Le calcul est simple: une seule colonie de 3000 abeilles produit 3 kilos de miel par an. Celui-ci est vendu 30 euros le kilo aux entreprises et 90 euros au détail, ce qui se traduit par un revenu de 120 euros annuels par colonie. Un apport considérable pour une population qui vit très humblement, presque en autarcie. Et Stéphane assure que si le producteur respecte les règles, il n’en aura que pour «deux fois dix minutes par an» pour entretenir la ruche.

En 2014, environ 200 kilos ont été produits. D’ici à deux à trois ans, il pourrait s’agir d’une tonne annuelle. Mais mieux vaut ne pas aller trop vite, afin de préserver un positionnement de miel rare et cher, ce qui représente une bonne valorisation du produit. «D’ailleurs, lors des concours gastronomiques, il est toujours placé hors catégorie, car ce miel apporte autre chose gustativement, il est différent», renchérit l’entrepreneur.

Stéphane sait qu’il ne vend pas qu’un produit, mais aussi toute la charge émotionnelle du miel indigène, sa tradition culturelle et la cosmovision – «Nous sommes la Terre, en prenant soin d’elle nous prenons soin de nous» –, ses effets thérapeutiques traditionnels, le cachet artisanal d’un produit extrait à la seringue.

Appropriation commerciale

Même si Stéphane veut limiter les quantités produites, les essaims et les ruches ont un coût. L’entreprise familiale Ballot-Flurin, installée dans les Pyrénées, semblait être le partenaire idéal. Ses produits naturels à base de miel se vendent comme des petits pains. Avec sa cinquantaine d’employés, elle est en pleine santé, connaît un rythme de croissance de 15% annuels. L’entreprise s’embarque dès le début dans l’aventure maya en y investissant 32 000 euros. Objectif: permettre à la fondation présidée par Stéphane d’acheter les 250 dernières colonies mères d’abeilles, les sauvegarder et les développer tout en valorisant le produit grâce à une ligne de cosmétiques haut de gamme à base de miel de mélipone.

C’est ainsi qu’en octobre 2014, la ligne de cosmétiques Melipona voit le jour en France. Catherine Ballot-Flurin, sa directrice, ne doute pas de son fort potentiel. «Les clients veulent des produits naturels, mais avec un effet immédiat. La crème Melipona réunit ces conditions, la peau semble se couvrir de paillettes, elle devient immédiatement lumineuse, c’est impressionnant.»

Mais lorsque Catherine montre le packaging à Stéphane, celui-ci tique en y voyant un petit r cerclé (®).

L’entreprise a déposé le nom Melipona. Or, il s’agit du nom de l’abeille. «Nous ne voulons pas bloquer l’importation de Melipona, mais simplement éviter le biopiratage, se défend Catherine. Sinon, quand un produit devient à la mode, les entreprises se targuent de l’utiliser sans que l’on puisse vérifier si c’est vrai et les populations défavorisées se mettent à faire n’importe quoi pour fabriquer le produit à tout prix.» Ballot-Flurin assure vouloir transférer d’ici peu le nom de la marque à un fonds de dotation international d’apiculteurs pour la protéger. Une décision qui réchauffera peut-être la relation avec Stéphane et les Mayas, qui n’ont pas apprécié l’appropriation de l’abeille par une entreprise privée.
Soutiens officiels
L’entrepreneur décide alors de taper haut pour éviter ce genre de malentendu. «Il est allé au Ministère de l’agriculture, à Paris, pour exposer son projet et sa fondation. Les autorités ont trouvé intéressant d’appuyer ce genre de développement», raconte Jean-Louis Buer, inspecteur général. Ce n’est pas un hasard. Ses abeilles tombent à pic dans une guerre idéologique plus large: défendre les appellations d’origine contrôlée (AOC), un concept français, et les imposer dans le plus grand nombre de pays possible face à celles de marque (à l’américaine).

«Sur le continent américain, le concept états-unien domine le marché. Mais le Mexique s’est révélé un partenaire très réceptif à la nécessité de créer de la richesse pour le producteur, de protéger sa production et la valeur de son savoir-faire sur le modèle de l’AOC française. Bref, d’assurer un développement économique respectueux de l’environnement et de la protection intellectuelle», explique-t-on au ministère.

Bonnes nouvelles

Aujourd’hui, dans le petit paradis mexicain de Stéphane, ce sont 300 colonies d’abeilles qui bourdonnent. L’entrepreneur veut doubler ce chiffre d’ici à deux ans. Lors de sa visite parisienne, l’apiculteur ne s’est pas seulement arrêté au ministère, il a enrôlé une autre entreprise française dans le sillage de sa fondation: Ekodev. Ce spécialiste de la responsabilité sociale des entreprises sélectionne des projets sociaux pour ses clients et leur propose de les soutenir. C’est ainsi que l’assureur Aviva a installé des ruches sur ses toits et verse aux Mayas le modeste produit de la vente de leur miel. Schneider Electric ou le bailleur social Ogif sont aussi devenus parrains de mélipones.

Quand il parle des abeilles, Stéphane présente tous les symptômes de la grande passion: le débit mitraillette, les yeux qui brillent, les mains qui moulinent. Aux entreprises philanthropes, il vante le miel comme moteur microéconomique de la communauté maya. Au Ministère allemand de la coopération économique et du développement, il convainc en parlant culture et biologie. A travers l’agence allemande GIZ, présente à Tulum (et dépendant du ministère), environ 20 000 euros ont été versés à la communauté pour permettre la conservation de son savoir-faire.

Marraine guatémaltèque

A Tulum, on se réjouit de ces soutiens venus de loin, mais Stéphane n’oublie pas pour autant que, chez les voisins, au Guatemala, la communauté maya est aussi fortement présente. Le Prix Nobel de la paix Rigoberta Menchu Tum en est issue. Elle a accepté d’être la marraine de la fondation de Stéphane. Elle se sent concernée par la valorisation de sa culture à travers la mélipone qui avait été presque effacée par la colonisation de l’abeille européenne. Tout un symbole. «Ils ne vont pas seulement vendre du miel, ils vont récupérer une science pour la vie et une science qui rend heureux tous les participants», précise-t-elle. Rappelant l’importance qu’il y a à côtoyer «cet être exceptionnel» qu’est l’abeille, animal sacré dans la culture maya.
Pour Stéphane, la première étape de son projet, ressusciter et revaloriser la mélipone, s’est révélée presque trop efficace. Il s’aperçoit qu’en cherchant à attirer les soutiens, il lui est difficile d’éviter les requins. A partir d’octobre, sa fondation va arrêter de commercialiser le miel et se concentrer sur le repeuplement de la mélipone.

Echaudé par ses aventures avec Ballot-Flurin, Stéphane laissera l’activité commerciale à l’association des petits producteurs, qui comptera d’ici à l’automne une centaine de membres. A la communauté maya de veiller sur son trésor ailé. Sans jamais oublier que sa jolie abeille aux yeux bleus est bien la seule à ne pas piquer.

Un dérivé de la méliponiculture

L’avenir économique de la méliponi-culture pourrait bien être l’abeille en elle-même, et non son miel. Catherine Ballot-Flurin en sait quelque chose. Ses yogas avec les abeilles, dans les Pyrénées, quelques jours en immersion, sans protection, méditant au contact des ruches, ont un succès fou. Même la nuit, en campant au plus près des abeilles. Cette expérience hors du commun coûte 1000 euros, rien à voir avec les ventes, encore très confidentielles, des produits de beauté à base de miel de mélipone. L’entreprise n’a pour l’instant pas fait de bénéfices sur cette gamme, étant donné son investissement important auprès de la fondation.
http://www.hebdo.ch/hebdo/cadrages/detail/magique-melipona-l%E2%80%99abeille-maya-tant-convoit%C3%A9e

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Reality of the flow hive

https://youtu.be/tfVs0TVmYDI

jeudi 17 décembre 2015

Hobby beekeeping growing in popularity

Hobby beekeeping growing 

in popularity 

Hobby beekeeper Dave Deverall, at home in his garden, Palmerston North, with one of his hives.
GRANT MATTHEW/FAIRFAX NZ
Hobby beekeeper Dave Deverall, at home in his garden, Palmerston North, with one of his hives.
More people are getting into keeping a few honey bee hives as a hobby.  Jill Galloway talks to a bee keeper.
Dave Deverall started bee keeping as a hobby last Christmas.  Less than a year later, he is passionate about bee hives and has 14 scattered around Palmerston North.
Deverall's gentle nature seems to placate the bees when he works around them.
He is also full of interesting facts.
For example, the male bee, known as a drone, can mate with a queen only once - then their penis explodes and they die.
The drone has no sting, no father and only a mother. The queen flies into an area about the size of a house where drones congregate, mates with about 15 of them and then flies back to the hive.
The workers are all females, so it's a matrilineal society.
Deverall says the city by-laws say you can have two hives on an average section of 500 square metres.
"Hobby beekeeping is growing.  Everyone wants hives on their place. I have around 10-20 people who want hives.'
His hobby consumes about five hours each week - any more and it would eat into family time and his paying job.
"Bee keeping grabbed me when I got my first hive on December 27 last year.  My great grandfather and uncle kept bees and for some reason I knew quite a bit about it, before I started."
He says his great grandfather was a successful beekeeper with more than 100 hives.
Since then, Deverall has been passionate about keeping bees, making his own hives and honey boxes. He uses 'Thermo Wood', already burnt.  It is  durable, keeps the rain out and is chemical-free.
A keen gardener, he prefers permaculture and does not use any chemicals.
"I would recommend having two hives, then if anything happens to one, you have another."
Deverall has researched bee health issues such as american and european foulbrood, nosema and of course varroa mite and is worried about hive collapse.
Like many other broad-spectrum insecticides, neonicotinoids are acutely toxic to bees and many beekeepers believe they are part of the problem, he says. Neonicotinoids are toxic to bees and they become addicted to the insecticide, he says.
He says it weakens hives, and lets other diseases and organisms invade.
Deverall says neonicotinoids are banned in many countries, but seeds continued to be coated with the chemical in New Zealand to stop insect attack.
He says he doesn't use a miticide strip to stop the varroa mite.
"I have some bees which bite the legs off mites. The mites are haemophiliacs, so they bleed to death. I have bred from the queen and her daughter."
Deverall hopes that might be the answer. 
One of his hives is at a property owned by an older woman.
"Everybody likes bees, and she said 'every time I see them I smile'.  She has no relatives in New Zealand. I can check on bees and have a talk to her at the same time."
Deverall says he makes hives for the love of beekeeping and gives his honey to a charity. "Well it's the bees honey really," says Deverall.
"I am far more aware of gardens now. I know when the flax is about to flower. I have been happy with the way the cabbage trees have bloomed.  Even people who don't mow their lawn very often - the clover is bee feed. Don't mow it, I think now."
As a member of the Manawatu Beekeepers Club he has seen membership growing.
"It started with perhaps 50 people when I first went. Now there are about 200.  Other people at the club are knowledgeable and they pass that on.  But they learn from me too.  I am one of the youngest and use U-Tube and multi-media."
Bee facts
Bees produce about 50 to 150 kilograms of honey from each hive.  A hive has between 20,000 and 60,000 bees.
A queen takes 16 days to hatch.
She mates with about 15 drones early in her life. The queen bee lays nearly 1500 eggs a day and lives for up to two years.
The drone, whose only job it is to mate with the queen bee, has no sting.
A drone takes 24 days to hatch.  The hive kicks them out  when the weather cools.  The drones are in their prime after 42 days of life and mate only once, killed by an exploding penis.
The term queen bee is typically used to refer to an adult, mated female that lives in a hive.  She is usually the mother of most, if not all, the bees in the beehive.
The queens are developed from larvae selected by worker bees, and specially fed in order to become sexually mature.
Normally only one adult mated queen is in a hive and bees will usually follow and fiercely protect her.
New Zealand sends bees all around the world.
Most honey is collected after pohutakawa trees flower in March.
The young bees make wax from a plate under their belly. Making wax is labour intensive.
 - Stuff